mercredi, juin 28, 2006

blogorrhée

Déferlement incessant sur le Printemps, les Galeries et toutes autres boutiques sises boulevard Haussmann. Le travailleur que je suis supporte avec blasement les vicissitudes de la vie, et plus précisément de ce mois de juin et juillet 2006:
Le foot, je hais le foot. C'est vrai. Le seul intérêt réside dans l'attente d'un short, puis du slip arraché lors d'une passe un peu violente, ce qui n'arrive pas, ensuite dans la vue des footballeurs, parfois mignons dégoulinant de transpiration (clin d'oeil à Mimine) et dans l'espoir de voir en fin de match en gros plan les échanges de maillot et les corps musclés...Tel est mon bonheur à l'égard du football. Hier, concert de cris, de klaxon, d'hystérie...pour des joueurs dont ca reste le métier... de mettre des buts. Oui, oui c'est le but!
Crions-nous , faisons-nous une ola à l'attention de la boulangère qui a tranché (par snobisme) / coupé (par habitude) notre pain de campagne et a réussi à mettre toutes les tranches, même le quignon, dans le sac? En plus le joueur de foot gagne quelques ronds de plus que la boulangère. Imaginez-vous les acclamations à chaque devoir rempli, à chaque mission accomplie. Nous vivrions dans les clameurs continues. Ca pourrait être bénéfique pour le moral, ceci dit!
Alors oui, ils portent, semble-t-il, l'espoir de la France. Quel espoir? l'espoir de rentabiliser le t-shirt de l'équipe acheté pour l'occasion? de rentabiliser l'écran plat acheté à renfort de crédit à la consommation? espoir de se détourner l'espace de quelques semaines de la torpeur ambiante?
Enfin, pendant un match, Paris est calme, et ça j'apprécie.
Après le foot, les soldes! impossible d'avancer sans se prendre dans les jambes un sac, que dis-je, des sacs , de se faire bousculer. Sachez que je perds 5 minutes pour rentrer chez moi, c'est une honte! Qui a parlé de marasme? de la fonte du pouvoir d'achat des français, hein! Moi, j'aime bien les soldes, mais sans foule....qui bouscule, trépigne, s'échauffe!!
Enfin, si les hommes mettaient autant de passion à aimer qu'ils en mettent à regarder un match, à faire les soldes, il n'y aurait pas autant de célibataires.
Imaginez-vous tout ce déploiement de force, de hargne, de joie, de bonheur, d'excitation, de trépidations, rrrrrrrrrrrrrrr, de râle dans nos relations! Que d'étincelles! Fête du slip tous les soirs! Ola de spasmes et d'orgasmes! pic de testostérones! maelström de folies, de sentiments, de romantisme, de libertinage......d'ingéniosité amoureuse!...Mon Dieu, et dire que 11 bonhommes en culotte courte, un peu moins les soldes, catalysent ces desiderata!
Ahhhhhhhhh, vivement ce soir que je rentre, les idées couchées sur ce billet m'ont mis en foufelle...et pour les autres, profitez pour faire de même, aujourd'hui et demain il n'y a pas de match!

samedi, juin 24, 2006

coccinelle

Non, ce n'est pas un article sur l'une des premières trans...pourtant le défilé d'aujourd'hui m'en donnait l'occasion...
Même si je ne participe pas au concours des balcons fleuris, je n’en néglige pas moins la décoration florale de mon intérieur.
J'ai la chance d'avoir quelques centimètres carrés pour poser quelques pots et jardinières.
L'année dernière, j'avais pour la première fois "cultivé" le jardin parisien et je m'étais rendu à Groslay (oui, oui, au même titre que Bouafle, ça prête à rire) au Jardiland pour acheter terreau, balconnières, petites fleurs. Tel un paysagiste j'ai conçu, avec l'aide de SRK'Best friend, LE jardin de mon affection.
Malheureusement, les capucines plantées amenèrent la petite vérole et ont complètement pollué les autres fleurs. Adieu les marguerites, adieu les nicotianas, adieu Hibiscus qui commençait justement à revivre après trois ans sous les toits, adieu mon jardin et place aux pucerons, cochenilles.
Le jardin était hideux...les frappes d'insecticide renouvelés les ont vaincus, mais au final, les bestioles ont remporté la guerre. J'ai fini l'été avec un véritable cimetière!
Compatissante, Halfaperson m'a même commandé une escouade de coccinelles dépêchée par la poste dans une petite boite en plastique avec comme unique nourriture un pop corn et accompagnée d'un petit pinceau pour les parachuter sur leurs cibles. Le combat fut atroce. Telle la désastreuse campagne de Russie, les coccinelles furent submergées et disparurent.
Comme elles n'avaient pas encore d'ailes et que je suis au 4eme étage, le vent d'été a eu raison d'elles, tout comme probablement les restes de pesticide pulvérisé 2 semaines auparavant!

Alors cette année, fort de mon expérience, j'ai pris des fleurs réputées inattaquables, inviolables et répulsives : les géraniums de quatre couleurs, un bégonia et des fushias.

Et ca marche! rien, nada, que dalle, pas un puceron.



Comme nous revenons aux produits bio, j'ai même planté des tomates cerises pour les prochains apéros et un piment. Je vais devoir dompter les tiges des tomates pour éviter les plaintes des éventuels bombardés.
Je vous tiendrai informé de l'évolution des plants de tomates et des premières récoltes.
Le soir, à mon retour du boulot, éreinté, je fais le tour de mon jardin, soit 5 balconnières, mes tomates et des petits aromates., je les arrose, j'enlève les tiges mortes, les fleurs fanées.

Et je n'oublie surtout pas de chouchouter mon fascinant papyrus, très apprécié de mes amis qui attendent avec impatience que je leur offre une tige pour qu'eux-mêmes puissent bénéficier d'un papyrus.


Vous ne me croirez peut-être pas, mais ça suffit à me reposer, me déstresser et à me changer les idées.
j'en profite, bien évidemment, pour mater les voisins...

lundi, juin 19, 2006

Le secret de Forbach Mountain

Pour la troisième fois en un an, je vais me rendre dans cette fabuleuse ville de Moselle : Forbach.
Je vous laisse imaginer ma pleine joie à l'idée de me promener dans les rues animées...de faire du shopping de luxe, bien évidemment, tant les magasins sont riches, élégants et merveilleusement bien achalandés, de déambuler dans les rues, de me pavaner...de croquer la vie à pleines dents, l'espace d'une journée.
Sans oublier ses bars animés, terrasses remplies et bondées d'élégants, distingués, d'icônes de mode et tout simplement bondées aussi.
Et, qu'est ce que 4 heures de train aller puis retour pour ce petit coin de paradis...ca passe tellement vite.
Ce train digne de l'Orient Express m'emménera à vive allure vers cette ville paradisiaque et m'en extirpera à grand regret.
Départ de Paris à 9h, arrivée prévue à 12h30, audience à 14H finie à 14h30 pour apprécier à 100% de la ville, départ à 17h30 et arrivée à 21h dans notre belle capitale. Quoi! N'est-ce pas une belle journée.
Je suis sur que vous m'enviez. D'ailleurs si l'un d'entre vous souhaite m'accompagner!
Allez, n'hésitez pas...cette journée pourrait être la copie de ce film dont j'ai plagié le titre, très journal libération, de ma chronique (un tantinet prétentieux ce mot...en ce qui concernemes écrits).
Pour les récalcitrants, je vous soumets quelques images pour attiser votre curiosité, et pourquoi pas susciter des envies de villégiature:
Bon, je ne vais pas me plaindre! J'aurais pu aller à Aix en provence ou à La Rochelle, voire à Lille.
Et non, je ne suis pas dénigrant avec les Forbachois, qui ne choisissent pas forcément leur environnement!
Seulement, je pense que pour apprécier certaines villes, il faut y être né! Tel est le secret de Forbach! Seuls les initiés l'apprécient.
Vous allez peut-etre dire que je suis méchant!! Mais en fin de compte, qui passera 8 heures de train et 5 heures dans la ville, hein? qui....

vendredi, juin 16, 2006

Ca prûleeeeeeeeeee


Indice 60, 30, 15, 40, 322, 782211675168145,8936,56652,37921,
Pour ceux qui n'aiment pas les maths, choisir une crème relève du défi.
Il faut trouver le juste équilibre et donc le bon indice pour bronzer sans cramer, cramer mais pas rougir, éviter la pelade.
"T'as pris quoi comme indice"
"Elle est water proof"
"Ah merde, j'ai plein de sable qui me colle à la peau, m'en fouts partout!!
"Seulement du 10, tu vas jongler ce soir, Mister Biafine"
"Tu sais que c'est de la publicité mensongère, hein,! Même que la commission européenne du conseil de l'union parlementaire, elle a décidé de supprimer les indices. Ils nous feraient acheter n'importe quoi."
"Tinnnnnnnnnnnnnnn, t'as la crème dont tout le monde parle, pas trouvée cette crème en magasin, moi" .
"Ne te baigne pas après avoir mangé, tu vas avoir l'hydrocution". Euhhhhh
"Elle sent bon mais elle n'est pas très pratique à mettre...regarde moi ça! Il aurait été content Saint Sébastien avec cette crème, swipp les flèches auraient glissé!"
"pschitt, pschitt, pschitt"
Telles sont les dicussions de coins de serviette sur une plage en plein soleil!
Et chacun y va de sa petite expérience pour éviter ces véritables bijoux biologiques, ou raconter les déboires d'un/e ami/e.
Véritable objets de culte, les crèmes passent de main en main, observées sous toutes les coutures, à la recherche d'on se sait pas trop quoi.
Bref, ça occupe sa première journée à la plage.
Alors, la grande innovation de l'année, c'est justement la mousse solaire, merci Nivéa. Un léger voile de soie à bien doser lors de l'application au risque de se retrouver avec un plaid au lieu du voile annoncé et de devoir courir à la coop du coin pour en trouver.
Ah oui, ne pas se tromper avec l'immac ou le veet, car en plus d'être rouge, adieu les poils. Et comme nous ne sommes pas très précautionneux lors du tartinage, je peux vous assurer que TOUS les poils disparaîtront (peut-etre pas tous quand meme) mais de nombreux!!!, mais subsisteront quelques ilots, petites touffes éparses du plus bel effet, ici et là.
Et qui les remarqueront! O certes pas vous, mais le bon copain ou la bonne copine sur qui on peut toujours compter pour remarquer les petits travers et les déclamer aussi fort que possible au premier venu. Si, si, on en connaît tous un ou une. J'avoue être un peu comme ça...parfois
Pour en revenir à la crème, maintenant déclinée en mousse, l'erreur de tartinage peut être fatale: marques de doigts dans le dos démontrant les capacités de souplesse du tartineur.
J. est souple jusqu'à ses omoplates, elle lève le bras, le fait passer par derrière, applique sa crème, tire sur ses articulations pour atteindre, atteindre, atteindre les omoplates...avec le bout des doigts! Bronzage de rêve, zébrée dans le haut du dos, ce qui signifie : bannis les décolletés à la Mireille darc dans le Grand Blond avec une chaussure noire!!
Il y a toujours les petits oubliés : les lobes frontaux , l'orée de la chevelure, la limite du maillot de bain (pour ne pas mettre de crème sur le tissu, inconsciemment je crée une marge de sécurité), l'arrière des cuisses.
Bronzer en toute sécurité n'est pas une sinécure et fait appel à un esprit scientifique affuté!
Après viendra le temps de la pelade. Mais ça, c'est déjà plus jouissif: essayer de décoller le plus grand morceau de peau sans le rompre....

mardi, juin 13, 2006

Après Stéphane Paoli...

Décidemment, France Inter perd ses voix les plus fameuses....
Après Stéphane Paoli, un départ volontaire dans son cas, c'est Macha Béranger qui fait les frais de la politique de rajeunissement de la radio décidée par son patron Schlesinger.
Adieu la voix rauque de fumeuse de Macha, les chansons (toujours) nulles qui entrecoupent les interventions des "sans sommeil", comme on les appelait.
Je l'ai appris hier soir en réglant mon réveil et je vous avoue avoir eu les larmes aux yeux. Non pas que je l'écoutai tous les soirs, mais simplement à l'écoute des témoignages poignants des auditeurs qui s'interrogaient sur le devenir de leurs nuits, tranche 00h00-01h30, l'appréhension des silences et surtout l'extinction d'une voie qui les a accompagnés pendant plus de 29 ans.
Je peux comprendre le rajeunissement des ondes...privées, mais les figures emblématiques qui font une station ne doivent disparaître, sous peine de lui ôter toute âme.
Pour moi France Inter, qui glane des auditeurs de tous âges, de toutes horizons, est en train de perdre sa vocation première de service public et de radio pour tous.
France Inter ne doit pas devenir un "Le Mouv'"!
C'est peut-etre vieux jeu ce que je raconte, mais je suis déçu.
Et dire que Louis Bozon et son jeu des 1000 € a failli passer à la trappe.
Monnnnnnnnnnnnnnnn Dieu!

vendredi, juin 09, 2006

Rien n'a foot du ballon, moi

Alors, voilà, on y est...c'est la coupe du monde, ca vient de commencer. J'entends déjà la télévision des voisins ou du bar d'en bas volume a fond.

Les cris des supporters entrent par la fenêtre de mon bureau,; je peux imaginer les olas, les bons coups, les buts, les fautes, rien qu'aux acclamations du public d'en bas!
Quel bruit agaçant.... et ce n'est que le début.
Ca ne sent pas encore la bière, mais ca ne saurait tarder.

Dire que je vais devoir supporter ça pendant un mois...J'appréhende mardi 13, premier match de notre équipe de France...ça a déjà bien mal commencé...même pas encore commencé qu'on a déjà perdu un joueur...


et voila le résultat...Certes, il s'agit de sa chute de l'année dernière, mais le résultat est le même, une belle equerre.
J'ose le jeu de mot...sa jambe black est d'équerre.....
Le pauvre, quand même.
Donc, notre équipe, la voila déjà amputé d'un membre que l'on disait indispensable. J'avoue ne pas avoir d'avis sur la question, étant donné que je suis aussi bon en foot qu'en Swahili.
Pour que je m'y intéresse, il faudrait que la France arrive en demi finale, comme en 98. POur l'instant ce n'est pas d'actualité et les pronostics ne sont pas fameux. Il me faut une alternative.
Je m'enfuirai bien de Paris, mais pour aller où?
En SUISSE
Car en Suisse, il y a le chocolat, la fondue, les fromages qui font la fondue et qui d'autres?
Il y a ça:
Ca change de la pub Milka et de la marmotte ou de la pub ricolaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa....

jeudi, juin 01, 2006

Matraquage internautique

Pour être lu, il faut être connu.
Le contenu a son importance tout comme les thèmes et les mots choisis.
Pour apprécier le contenu d'un blog, j'en reviens à mon incipit, il faut être lu donc connu.
Comment créer un réseau :
1/ Faire jouer les relations familiales:
Donner son adresse de blog à : ses parents, ses grands-parents, s'ils sont un tantinet intéressés, ses frères et soeurs, bref toute la famille, jusqu'à l'arrière arrière petit petit cousin vu pour la dernière fois au baptême du fils de la soeur du grand oncle de la mère du frère ...vous me suivez... de la tante qu'on a rencontrée dans la maison de notre grand-mère aux dernières vacances de Pâques,
Avant de donner son adresse, encore faut-il leur expliquer ce qu'est un blog, ce qui n'est pas du tout aisé; d'ailleurs, moi-même ne maîtrise pas toutes les arcanes et fonctionalités de mon système.
Puis leur donner l'adresse...où : sur un paquet de cigarettes, si vous en trouvez encore. Eh oui compte tenu de la montée des prix et de l'ostracisme ambiant, les fumeurs se raréfient; sur un morceau de nappe en fin de repas de communion entre deux taches de vin rouge et la sauce écrevisse; sur un sous bock humide mille et une fois émietté; un ticket de carte bleue....bref tout support possible et imaginable qui sera jeté le soir en faisant ses poches, qui passera à la machine à laver puis au sèche linge....
2/Les amis:
Les amis bloggeurs connaissent la situation, donc par sympathie, vous référencent.
Les autres amis viennent visiter le site par sympathie aussi et par curiosité (Ah non? Ah bon!).
Et heureusement qu'ils sont là, car au début, y a pas grand monde.
Chacun y va de son commentaire sur les textes encore hésitants du rédacteur, pourtant impavide face à son nouveau challenge : interesser ses lecteurs.
3/Le pénitus extranei:
Celui la est plutot dur à choper! Il faut l'attirer, l'apprivoiser.
Il peut posséder un blog. Il viendra nous voir à la suite d'un petit commentaire agréable laissé sur un de ses textes.
Je prends toujours soin de laisser mon adresse URL (j'apprends vite les termes).
Une relation epistolaire se crée le cas échéant, ce qui ne me déplait aucunement.
Ensuite, il faut attirer le chaland, celui que ne connaît pas l'existence de votre blog, celui qui ne soupçonne même pas votre existence.
Et comment attire-t-on le chaland?
En ayant son adresse de bog référencée en top de liste sur le moteur de recherche google ou autre, lorsque le quidam tapera des mots de recherche : mon rêve!
Drenka, pour ne pas la citer, a connu la postérité lorsqu'une personne a lancé une recherche en utilisant les mots : vierge+marie+coloriage, ou encore ma+femme+plus+grande+en+talon+haut...
Alors mon idée, au moins pour les premiers messages, est de conclure en mettant des mots puisés dans l'actualité ou dans un chant lexical particulier : gastronomie, sexe (rien qu'en mettant ce mot, je suis sur de gagner quelques places, ouaip!!). Je me rends compte que ma vie tourne autour de ces deux mots. Ils sont apparus les premiers, pour les autres, j'hésite: mon blout, la politique...
Donc, Chères lectrices, Chers lecteurs, excusez ce catalogue, JE VEUX ETRE LU, j'ai plein de choses à raconter: mon surnom après le film Palais Royal, mon lustre, mes états d'ame...bref moi.
1: gastronomie, vin rouge, vin blanc, bière, champagne, meursault, romanée conti, bordeaux, chablis, Beaunes, la Grillardine, saucisses de toulouse, garbure, bouillabaisse...
2: sexe ,cul, SM, PD, homo, tétu, attitude, hétéro, gay pride, Lille, Marseille, Paris, soirées, sorties , Cabaret, Tango, lesbienne, plage, maldives...
3: politique, gouvernement, premier ministre, Chirac, Clearstream, frégates de Taiwan, hémicycle, Sénat, constitution, union européenne, Madagascar, l'Age de Glace (?)
4: Madonna, Mylène Farmer, Richard Anthony, Pascal Danel, Moustaki, Babyshambles, New Order, Pete Doherty, Carl Barat (Eh oui suis un pro maintenant, grâce à mon chéri et à Halfaperson) the scientists, Mozart, Haydn, Verdi,
Après je vous ferai une chronique ciné.
Pffffffffffffffffffffffff, qu'est-ce qui faut pas faire, hein!
Ca suffit pour aujourd'hui.

Alors ça marche?